Ces derniers mois, après avoir passé soixante-quinze ans, je me suis demandé ce que j'aimerais transmettre avant de partir - sous réserve que Dieu m'en donne le temps. Il se trouve qu'un de mes bons amis - le même qui m'avait offert à point nommé "La vie commence à soixante ans", de Bernard Ollivier - me fit alors partager sa découverte de l'association Philotechnique. Dans une chronique que je cite plus bas, j'avais tenté d'accoucher d'une réponse à mon questionnement. Ces deux fils que le hasard avaient fait se croiser se lièrent pour devenir un projet de cours que je présentai à la responsable des programmes de l'Association, qui le mit au catalogue. On reconnaîtra peut-être là un écho d'une précédente chronique de Cap au Large: dessiner une porte.