Quand, à soixante-dix-sept ans, je regarde derrière moi, je me dis qu’à plusieurs reprises, mon imagination s’est retrouvée bien inférieure à celle de la vie, et c’est une source d’espoir que j’ai envie de partager.

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Quand, à soixante-dix-sept ans, je regarde derrière moi, je me dis qu’à plusieurs reprises, mon imagination s’est retrouvée bien inférieure à celle de la vie, et c’est une source d’espoir que j’ai envie de partager.